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pouvoirs & malus

Empathie : Capacité de ressentir les émotions et les sentiments d'autrui qu'ils soit négatifs ou positifs lorsqu'elle touche la personne. Elle a toujours plus vu cela comme une malédiction qu'un pouvoir en lui-même, car ressentir la peine des autres ce n'est pas facile, heureusement parfois c'est aussi la joie. Bien entendu comme tout pouvoir , elle a des limites, elle ne pourra le faire que cinq fois par jour et si elle dépasse cette limite, elle pourrait très bien s'affaiblir physiquement.

chapitre 1

Yavana tu es un si beau bébé. Tu viens de voir le jour est dû me remplis déjà tellement d’amour. Je suis fière de toi ma fille telles étaient la parole de ma mère Ilyana. Je n’ai que peu de souvenir d’elle, juste quelques images. Elle était très belle avec ses grands yeux dorés et sa peau si pâle et ses cheveux long et blanc, mais je me souviens aussi des larmes qui coulaient de ses joues. Elle semblait si triste et si joyeuse à la fois, elle tenait ma toute petite main dans la sienne, elle était si froide. Toutes ses émotions m’avaient meurtri à peine j’étais née que déjà je souffrais. Je me souviens qu’au dernier souffle de ma mère, une vive douleur s’empara de moi et je mis à pleurer et à hurler. Ma mère avait succombé à ma naissance, comme cela pouvait-il être possible ? Comment mère nature avait pu prendre la vie de quelqu’un et la donner à une autre ? Etait-elle aussi cruelle pour séparer une mère de sa fille à tout jamais ?

Je ne vis jamais le visage de mon père avant mes dix ans. Ce dernier était le chef de mon village natal. Je fus élevée par plusieurs vieilles filles du village. Elles s’occupèrent bien de moi. Je ne manquais de rien et ce même si le village était pauvre, mère nature nous gâtait de récoltes de blé, d’orge et de belles pommes. Très vite il s’avera que je possédais le pouvoir d’empathie. Ce pouvoir se manifesta souvent lorsque je touchais l’épaule de quelqu’un pour le réconforter lorsqu’il était triste, des larmes se mettaient à couler sans que je comprenne pourquoi. Je pouvais également ressentir la joie des uns et des autres. Je ne maitrisais pas cela au départ et au début je prenais cela plutôt comme un jeu et je faisais voir cela à mes amis du village, posant ma main sur leur épaule à chaque fois pour voir ce que cela faisait, mais très vite je découvris aussi que ce pouvoir avait ces limites lorsque je tombais de fatigue subitement. J’avais une petite santé en plus à l’époque, tombant souvent malade, je gardais souvent le lit.

Vint alors le jour de mon dixième anniversaire, ce jour-là était un peu spécial. Je devais recevoir l’étoile des rêves : il s’agit d’une tiare un peu spécial donné à chaque jeune fille du village à leur dixième année: une tradition. Ce fut là que je croisai pour la première fois mon père : c’était un elfe très grand, ses cheveux étaient de la même couleur que les mien, mais ses yeux étaient d’un bleu profond comme l’océan. Il ne sourit pas une seule fois lorsqu’il me remit la tiare au pied de sa statue de nos ancêtres au centre du village. Ce jour-là il se passa l’impensable, je me mis à trébucher sur mon voilage bien trop grand pour moi et je posai une main sur mon père en voulant me rattraper, je ressentis alors une immense tristesse, un vide, un profond vide plus grand encore que l’océan. Je compris que mon père ne s’était jamais remis du décès de ma mère et en plus qu’il ne ressentait rien pour moi, pas d’amour, pas de haine, juste de l’indifférence, comme si je n’étais pas sa fille, comme si je n’étais rien. J’avais tellement attendu ce jour avec impatience et tout cela pour rien, pour découvrir qu’il n’y a rien. La cérémonie se termina et mon père disparut à nouveau emportant un souvenir amère, une rencontre qui devait être inoubliable devint plus qu’un vague regret.
Mon cœur blessé ne se remit jamais et je me remis à penser et à ressasser le peu d’image que j’avais du jour de ma naissance, quelques images lointaines, quelques émotions perdues et beaucoup de regrets. Si je n’étais pas née, mon père, ma mère, ils n’auraient pas souffert. J’enfouis tout au fond de mon cœur ses pensées négatives, me rappelant des sages paroles d’une vieille elfe qui me disait de toujours voir le bon et le beau dans chaque être vivant. Cela serait mon crédo dorénavant.

La vie reprit son cours normal du temps, devenant un long fleuve tranquille. J’appris à maitriser mon pouvoir et à connaitre ses limites. Je grandis en apprenant tout un tas de chose que ce soit l’histoire de nos ancêtres, l’histoire de ce monde, la culture, les plantes, la botanique m’intéressa plus que tout le reste et je décidais que plus tard j’en ferais mon métier, aimant particulièrement la nature.

Je quittai mon village à ma vingtième année pour vivre ma propre existence disant au revoir à chaque ami que je m’étais fait. Mon père ne prit même pas la peine de venir me dire au revoir, après tout je n’étais rien pour lui qu’une déception. J’entrepris de faire un tour du monde jusqu’à ce que je trouve un coin de verdure qui me plaise pour m’y installé. Mon voyage dura de longues années, de très longues années et je vécue de joie, de bonheur, mais aussi de tristesse et de douleur cela me forgea et fit de moi ce que je suis aujourd’hui et c’est après tout cela que je trouvais enfin l’endroit tant entendu. Je battis ma maison dans un près à la lisière d’une forêt et près d’un lac, une maison simple, une grande serre collée et un verger à l’arrière, quelques volailles pour les œufs et quelques vaches pour le lait. Une vie simple et parfaite pour moi.

physique

Yavana est une elfe d’une grande beauté. Elle a une peau très pâle, de grand yeux couleur d’or a vec de long cils, de grandes oreilles pointues. Les traits de son visage son fin, ses sourcils à peine perceptibles sous sa frange, ses lèvres fines et délicatement rosée. Elle a une très longue chevelure bleu semblable à une rivière qui coule lentement le long de son dos et ce jusqu’en bas de ses fesses. En parlant de son corps, elle a des formes très généreuse, la nature la gâtée à ce niveau-là. Elle a une belle poitrine imposante, des hanches larges et un ventre plat, ses mains sont fines et ses pieds aussi. Elle n’est pas extrêmement grande, elle mesure 1m67. Elle n’a aucune cicatrice, son corps semble vierge de tout défauts comme s’il venait d’être créé, aucune pilosité et aucun grain de beauté ne vient troubler l’harmonie de cet être.

Au niveau du style vestimentaire, elle porte généralement toujours la même tenue, une tenue pour le moins légère. Il s’agit d’un vêtement un peu particulier composé d’une sorte de robe très échancrée qui révèle ses courbes, un voilage bleu et blanc vient couvrir l’arrière de la tenue, pour le bas il n’y a qu’un simple morceau de tissus qui couvre son intimité. Le plus fascinent dans sa tenue c’est surtout sa coiffe : il s’agit d’une sorte de tiare avec des ailettes blanches sur les côtés de la tête, un joyau au milieu est fait en lapis-lazuli et couvert d’or sur les côtés, cette tiare est reliée à un voilage assortit à sa tenue.

mental

Yavana signifie dispensatrice de fruits. Un joli prénom plein de signification auquel la jeune elfe s’est toujours efforcé de faire honneur. A dire vrai ce n’est pas compliqué pour Yavana, elle est pleine de bonté et de gentillesse. Généreuse et altruiste, elle fait toujours passer le bonheur des autres avant le sien sans rien demander en retour. Elle a de l’amour à revendre. Si elle ne peut pas aider quelqu’un dans le besoin, elle le vit très mal. Calme comme l’eau d’un lac, elle semble assez taciturne et timide aux premiers abords, mais si on prend le temps on peut apprendre beaucoup sur cette personne. Elle n’aime pas parler d’elle-même, mais elle est très à l’écoute des autres. Patience est mère de vertu, tout comme la nature, cette dernière prend le temps de faire les choses et prend le temps de vous écouter. Elle est extrêmement loyale, si vous vous liez d’amitié avec elle, c’est à la vie à la mort, elle ne vous trahira jamais et même si vous êtes la pire des crapules. C’est un symbole de vertu, elle semble presque trop parfaite à ce niveau-là, mais comme tout un chacun elle a des défauts.

Elle est beaucoup trop naïve et beaucoup trop gentille et sa colère elle l’enfouit au fond d’elle tenté si bien qu’un jour ça finira par exploser. Elle se sent également responsable de quelque chose qui s’est produit par le passé et noue une rancœur envers elle-même depuis ce fameux jour.

centres d'intérêts

Yavana passe beaucoup de temps à s’occuper des plantes : arbres, fleur et herbes en tout genre. Elle adore la nature et adore cultiver ce que mère nature lui offre. Elle aime préparer également de délicieux plats avec de bons fruits frais et des remèdes à base de plantes diverses. Elle adore également nager et grimper aux arbres. Elle adore la nature en générale, que ce soit les végétaux ou les animaux.